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lundi 18 mai 2020

Isabelle Boulay - C'est quoi, c'est l'habitude


Je sens qu'on s'aime moins
Peut-être même qu'on s'aime plus
Je dis ça parce qu'on ne se dit rien
Qu'on n'en discute même plus
On se raccroche à ce qu'on peut
Pour croire que l'on existe encore un peu

C'est quoi, c'est l'habitude
C'est quoi, ça vient de moi
Est-ce que l'on s'aime encore
Tu le dirais, dis-moi

C'est quoi une lassitude
C'est qui, quel est son nom
Si on ne s'aimait plus
Tu le dirais, sinon
Tu le dirais, dis pas

J'ai peur de nos manques d'efforts
Pour supporter le quotidien
Parce qu'on se connaît par cœur
Et pire, on se connaît trop bien
Pour quelques instants de bonheur
On préfère des plaisirs faciles, ailleurs

C'est quoi, c'est l'habitude
C'est quoi, ça vient de moi
Est-ce que l'on s'aime encore
Tu le dirais, dis-moi

C'est quoi une lassitude
C'est qui, quel est son nom
Si on ne s'aimait plus
Tu le dirais, sinon

C'est ça l'incertitude
Savoir à qui tu penses
Qui me ronge et me tue
Si c'est perdu d'avance

Tu le dirais, dis-moi
Tu le dirais, dis-moi
Tu le dirais, dis-moi
Tu le dirais, dis pas

C'est quoi, c'est l'habitude
C'est quoi, ça vient de moi
Est-ce que l'on s'aime encore
Tu le dirais, dis-moi

C'est quoi une lassitude
C'est qui, quel est son nom
Si on ne s'aimait plus
Tu le dirais, sinon

Tu le dirais, dis pas
Tu le dirais, dis-moi
Tu le dirais, dis-moi, oh...
Tu le dirais, dis-moi
Tu le dirais, dis-moi, oh...

jeudi 19 décembre 2019

Isabelle Boulay - Un souvenir



[Paroles de "Un souvenir"]

Les trottoirs se maquillent
Et les longs cheveux des filles
Vivent dans ton miroir
Dans ton miroir
Je ne veux pas savoir
On tourne des pages
Et nos regards se chargent
Il ne fait que pleuvoir
Fait que pleuvoir
Sur la route

Et notre histoire s'en va
Loin de nous
Loin de tout
Ce qui pouvait la retenir
Elle part

Loin de nous
Loin de tout
Pour ne rester qu'un souvenir

Notre amour s'envole
Comme les avions décollent
Il est déjà trop tard
Déjà trop tard
Plus de rendez-vous
On coupe les ponts
Les horloges tournent en rond
On est dans ce couloir
Dans ce couloir
Au bout

Et notre histoire s'en va
Loin de nous
Loin de tout

Ce qui pouvait la retenir
Elle part
Loin de nous
Loin de tout
Pour ne rester qu'un souvenir

On se jette la pierre
Et entre nous c'est la guerre
On se sépare
On se sépare
On est seul
Et notre histoire s'en va
Loin de nous
Loin de tout
Ce qui pouvait la retenir
Elle part
Loin de nous
Loin de tout

Pour ne rester qu'un souvenir
Elle part
Loin de nous
Loin de tout
Ce qui pouvait la retenir

vendredi 6 septembre 2019

ISABELLE BOULAY - Ton histoire


C'est un regard de soie
Qui se passe de mots
Quand le silence est roi
Le reste est de trop
On retrouve le goût des paradis perdus
Tout ce qu'on ne croyait plus

Quelques gestes oubliés
Qu'on reconnaît par cœur
Qu'est-ce qui s'était passé ?
Etait-ce nous d'ailleurs ?
Une main qu'on revoit, caressante et tendue
Tout ce qu'on ne croyait plus

{Refrain:}
Je n'étais pas loin, je n'oubliais rien
Quand le temps a bâti des murs
Entre toi et ma peau
Je n'étais pas loin, je n'oubliais rien
Même après ma vie, je le jure,
Je te dirai ces mots

Ton histoire est mon histoire
C'est rattraper nos traces
Sur les chemins du temps
C'est l'espoir qui efface
Les blessures d'avant
C'est retrouver son âme comme retrouver la vue
Tout ce qu'on ne croyait plus

{au Refrain}

Ton histoire est mon histoire
Ta douleur est ma douleur
Ta route est ma route

{Choeurs:}
Ton histoire est mon histoire
Ta douleur est ma douleur
Ta route est ma route
Je n'étais pas loin, je n'oubliais rien
Quand le temps a bâti des murs
Entre toi et ma peau

Je n'étais pas loin, je n'oubliais rien
Même après ma vie, je le jure,
Je te dirai ces mots
Je n'étais pas loin
Ouh ouh
Ta route est ma route

samedi 31 août 2019

Isabelle Boulay - Un jour ou l'autre


Puisque tu sais le temps qu'il m'a fallu
Pour arriver au coin de ta rue
Puisque derrière tes paupières baissées
Tu as suivi les routes où j'ai marché
Puisque tu vois la couleur de mes nuages
Et les photos qui rient dans mes bagages
Je garderais tous ces morceaux de nous
Que tu as laissés cassés un peu partout...

Un jour ou l'autre, on se retrouvera
Comme un matin d'enfance
Un jour tout autre, on se reconnaîtra
Pour une autre danse...

Tu as réveillé des soleils endormis
Entre tes cils, ils m'ont souri
Par tes yeux clairs, j'ai vu des arcs-en-ciel
Là où j'avais laissé fondre mes ailes
Même si tu vis dans d'autres vies que moi
Si chaque nuit nous éloigne pas à pas
Même si j'ai peur des ombres qui s'avancent
Dans cette chambre qui part vers le silence

Un jour ou l'autre, on se retrouvera
Comme un matin d'enfance
Un jour tout autre, on se reconnaîtra
Au-delà du silence...

Un jour ou l'autre, on se retrouvera
Comme un matin d'enfance
Un jour tout autre, on se retrouvera
Au-delà du silence...

Un jour ou l'autre, on se retrouvera
Comme un matin d'enfance
Un jour tout autre, on se retrouvera
Pour une autre danse...

Un jour ou l'autre

Un jour ou l'autre

jeudi 29 août 2019

Isabelle Boulay - Fin octobre, début novembre


C’est fin octobre début novembre
Le ciel est rose et bleu lavande
Seule dans la foule de Montréal
Je marche, je cours sur Mont-Royal
Les arbres ont perdu leurs habits
Les merles bleus ferment leurs nids
Chemin de terre, bonne cadence
Mon amour tu me manques

C’est fin octobre début novembre
Ma main te cherche dans sa balance
Un beau dimanche sur Saint-Laurent
Toutes les odeurs sont là tout l’temps
Les langues sont un joli bordel
Si loin de la tour de Babel
Moi c’est ta voix que j’veux entendre
Mon amour tu me manques

C’est fin octobre début novembre
Ma ville s’endort en ton absence

Mais dis-moi quand reviendras-tu?
Fou rire sans toi c’est peine perdue
T’es rare comme une étoile filante
J’fais pas de vœux j’ai pris une chance
Je garde ton odeur dans la chambre
Mon amour tu me manques

C’est fin octobre début novembre
Le jour est court, la nuit pesante
Le jaune et le rouge sur la ville
Le vent les bouge, les éparpille
L’automne est triste, le ciel est bas
Termine vite et reviens-moi
Défaire le nœud que j’ai au ventre
Mon amour tu me manques

C’est fin octobre début novembre
Le ciel est rose et bleu lavande
Seule dans la foule de Montréal
Je marche, je cours sur Mont-Royal
Les arbres ont perdu leurs habits
Les merles bleus ferment leurs nids
Chemin de terre, bonne cadence
Mon amour tu me manques.
En savoir plus sur http://www.paroles.net/isabelle-boulay/paroles-fin-octobre-debut-novembre#eImW8dtxSu6i8G3Z.99

mardi 20 novembre 2018

Isabelle Boulay - Mieux qu'ici-bas

Un ange par-ci
Un ange par-là
Un diable aussi
Quand tu es là
Et rien ne va
Mieux qu'ici-bas

On change de vie
On change de mois
De jour aussi
Quand on se voit
Et rien ne va
Mieux qu'ici-bas

Comme tout est fait
Pour aller haut
Les ailes souvent ont des oiseaux
Comme tout est fait
Pour rester chaud
Les flammes, les flammes ont des bourreaux

Et rien ne va
Mieux qu'ici-bas
Et rien ne va
Mieux qu'ici-bas
Mieux qu'ici-bas,
Rassure-toi

Un temps de pluie
Comme tant de fois
Un ciel aussi rose
Que le bois
Et rien ne va
Mieux qu'ici-bas

Autant de nuits
Que de toi et moi
Un lit aussi
Grand que tes bras
Et rien ne va
Mieux qu'ici-bas

Comme tout est fait
Pour prendre l'eau
Les îles, les îles ont des bateaux
Comme tout est fait
Pour faire des mots
Je t'aime tant, je t'aime trop

Et rien ne va
Mieux qu'ici-bas
Et rien ne va
Mieux qu'ici-bas
Mieux qu'ici-bas,
Rassure-moi ...

mercredi 14 juin 2017

Isabelle Boulay - Chanson pour les mois d'hiver

Chanson pour les mois d'hiver
Chanson pour rêver, chanson douce-amère
En plein coeur de décembre
Il tombe des étoiles de neige
L'automne est déjà loin derrière
La forêt enneigée calme les colères
Il y a ce silence qui hante
Les montagne et la plaine

Rallume le feu, réchauffe moi, tant que tu peux
Chante-moi un air
Ta chanson pour les mois d'hiver
Celle qui dans tes yeux, éclaire ton âme comme le feu
Moi j'éteins la lumière
Y'a plus que nous deux sur la terre

Ici, il n'y a pas de misère
Il n'y a que la vie, l'amour et l'hiver
Et puis on est ensemble, si tendre
Le coeur grand ouvert
Je ne pense plus à la mer
Emmitoufflée dans tes yeux, dans l'univers
J'ne veux plus redescendre la pente
J'veux rester dans l'hiver

Rallume le feu, réchauffe moi, tant que tu peux
Chante-moi un air
Ta chanson pour les mois d'hiver
Celle qui dans tes yeux, éclaire ton âme comme le feu
Moi j'éteins la lumière
Y'a plus que nous deux sur la terre

Et loin de nous les inquiétudes du temps
Ici, y'a que toi et moi et le vent
Je regarde nos pas dans la neige et je ressens
Nos coeurs battants
Sur tapis blanc

Rallume le feu, réchauffe moi, tant que tu peux
Chante-moi un air
Ta chanson pour les mois d'hiver
Celle qui dans tes yeux, éclaire ton âme comme le feu
Moi j'éteins la lumière
Y'a plus que nous deux sur la terre

Isabelle Boulay - Dieu des amours

A toi parti sans dire un mot
je voudrais crier quel salop.
Je ne peux pas mon âme-soeur,
tout reste intact dans mon coeur.

A toi parti sans crier gare,
tu empoisonnes ma mémoire.
Et mélé donc à faire de mots,
à toi qu'es parti sans un mot.

Oh mon amour, dieu des amours,
oh mon amour, aide-moi.
Oh mon amour, dieu des amours,
oh mon amour, aide-moi.

A toi parti sans dire un mot,
me voilà sans plus de dire des mots.
Mon corps de femme abandonné,
ne croit plus au bonheur d'aimer.

Rejeté au mépris sans nom,
je méprise désirée chanson.
Je crois sans cesse retrouver,
mais simplement qui tant manqué.

Oh mon amour, dieu des amours,
oh mon amour, aide-moi.
Oh mon amour, dieu des amours,
oh mon amour, aide-moi.

dimanche 16 avril 2017

Isabelle Boulay - Quelques pleurs

Et tu sais maintenant
La douleur du temps
Quand il est sans demain
Et de vivre en silence
Et si peu d'espérance
Quand tes yeux ne voient rien
Oh tu sais maintenant
Tout ce que l'on comprend
Quand tout ce qu'on a cru
Est à jamais perdu

Laisse couler quelques pleurs
Pour adoucir tes peurs
Juste quelques pleurs
Comme on arrose une fleur
Quelques pleurs

Oh tu sais maintenant

Le goût des matins blancs
La vie sans la couleur
Plus que savoir tu ressens
Le vide qu'il y a dedans
Quand on n'est que langueur
Tu restes au fond de toi
Où personne ne va
Et tu dérives assise là
En attendant ses pas
Laisse couler quelques pleurs
Pour adoucir tes peurs
Juste quelques pleurs
Comme on arrose une fleur
Quelques pleurs

Même si tu savais d'avance
Que l'amour est faïence
Et que les contes de fées
Ne sont que des contes de fées
Tu as voulu y croire
Aveugle de l'histoire
Et tu restes au fond de toi
Où personne ne va

Et tu restes au fond de toi
Où personne ne va
Et tu laisses aller tes pleurs
Pour adoucir tes peurs
De quelques pleurs
Quelques pleurs
Quelques pleurs
Quelques pleurs
Quelques pleurs
Quelques pleurs
Quelques pleurs

jeudi 25 décembre 2014

Isabelle Boulay - Il Suffirait De Presque Rien

Il suffirait de presque rien
Peut-être dix années de moins
Pour que je te dise "Je t´aime"
Que je te prenne par la main
Pour t´emmener à Saint-Germain
T´offrir un autre café-crème

Mais pourquoi faire du cinéma
Fillette allons regarde-moi
Et vois les rides qui nous séparent
A quoi bon jouer la comédie
Du vieil amant qui rajeunit
Toi même ferais semblant d´y croire

Vraiment de quoi aurions-nous l´air
J´entends déjà les commentaires
"Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
Elle au printemps, lui en hiver"

Il suffirait de presque rien
Pourtant personne tu le sais bien
Ne repasse par sa jeunesse

Ne sois pas stupide et comprends
Si j´avais comme toi vingt ans
Je te couvrirais de promesses

Allons bon voilà ton sourire
Qui tourne à l´eau et qui chavire
Je ne veux pas que tu sois triste
Imagine ta vie demain
Tout à côté d´un clown en train
De faire son dernier tour de piste

Vraiment de quoi aurais-tu l´air
J´entends déjà les commentaires
"Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
Elle au printemps, lui en hiver"

C´est un autre que moi demain
Qui t´emmènera à St-Germain
Prendre le premier café crème
Il suffisait de presque rien
Peut-être dix années de moins
Pour que je te dise "Je t´aime"

Isabelle Boulay - Ma liberté

Ma liberté
Longtemps je t'ai gardée
Comme une perle rare
Ma liberté
C'est toi qui m'as aidé
A larguer les amarres
Pour aller n'importe où
Pour aller jusqu'au bout
Des chemins de fortune
Pour cueillir en rêvant
Une rose des vents
Sur un rayon de lune


Ma liberté
Devant tes volontés
Mon âme était soumise
Ma liberté
Je t'avais tout donné
Ma dernière chemise
Et combien j'ai souffert
Pour pouvoir satisfaire
Tes moindres exigences
J'ai changé de pays
J'ai perdu mes amis
Pour gagner ta confiance


Ma liberté
Tu as su désarmer
Mes moindres habitudes
Ma liberté
Toi qui m'as fait aimer
Même la solitude
Toi qui m'as fait sourire
Quand je voyais finir
Une belle aventure
Toi qui m'as protégé
Quand j'allais me cacher
Pour soigner mes blessures


Ma liberté
Pourtant je t'ai quittée
Une nuit de décembre

J'ai déserté

Les chemins écartés

Que nous suivions ensemble

Lorsque sans me méfier

Les pieds et poings liés

Je me suis laissé faire
Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière


Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière

samedi 4 octobre 2014

Isabelle Boulay - Parle-Moi

Je ne sais plus comment te dire
Je ne trouve plus les mots
Ces mots qui te faisaient rire
Et ceux que tu trouvais beaux

J'ai tant de fois voulu t'écrire
Et tant de fois courbé le dos
Et pour revivre nos souvenirs
J'ai même aussi frôlé ta peau

[Répétition] :
Oh, dis-moi
Regarde-moi
Je ne sais plus comment t'aimer
Ni comment te garder

Parle-moi
Oui parle-moi
Je ne sais plus pourquoi t'aimer
Ni pourquoi continuer

Tu es là, mais tu es si loin,
De moi

Je ne sais plus comment poursuivre
Cet amour qui n'en est plus
Je ne sais plus que souffrir
Souffrir autant que j'y ai cru

Mais je sais qu'il me faut survivre
Et avancer un pas de plus
Pour qu'enfin cesse la dérive
Des moments à jamais perdus

[Répétition]

Oh, dis-moi
Regarde-moi
Il y a la vie dont on rêvait
Celle qui commençait
Oh, parle-moi
Parle-moi
Je ne sais plus pourquoi t'aimer
Ni comment continuer

Oh, dis-moi
Oh, dis-moi
Dis-moi, si tout est terminé
Si je dois m'en aller

Oh, parle-moi
Parle-moi
Regarde-moi x4