mardi 30 décembre 2014

Judith - Le bon vent

Je sais bien qu'il y a pire et qu'il y a mieux que moi
Mais au-delà de nos soupirs et bien au-delà
C'est bien peu de le dire,
Oui mais moi j'y crois
Je demande à ton sourire de se tenir près car:
Le bon vent viendra chasser les mauvais tours,
Les printemps viendront balayer les mauvais jours
Le bon vent viendra chasser les mauvais tours,
Les printemps viendront balayer les mauvais jours.
Tous ces gens que l'on devine,
débordant de tours,
Tous ces gens qu'on imagine plus heureux que nous,
Oh crois-tu qu'ils se dessinent un autre idéale?
Sous le poid de ta routine ce serait pas si mal
Mais le bon vent viendra chasser les mauvais tours,
Les printemps viendront balayer les mauvais jours
Le bon vent viendra chasser les mauvais tours,
Les printemps viendront balayer les mauvais jours.
Dis-moi si je délire,
Si je ne vais pas bien,
Puis-je encore te retenir?
Ou est-ce déjà la fin?
S'il n'y a plus d'avenir
Si tu ne vois plus rien,
Ai la façon de me dire car si tu te souviens:
Le bon vent viendra chasser les mauvais tours,
Les printemps viendront balayer les mauvais jours,
Le bon vent viendra chasser les mauvais tours,
Les printemps viendront balayer les mauvais jours
le bon vent viendra chasser les mauvais tours,
Les printemps viendront balayer les mauvais jours,
Le bon vent tala tala la la la la
lalalalala
Viendra chasser
lalalalalalala
Le bon vent
Chasser
(Chasser)

Judith - Là Où Je Vais

Ça me dépasse
Tes envies de rester en place
Tu sais
A chaque jour passé
J'ai fait le tour d'une vie sans rêver
Faire face
Aux bruits des regrets
Aux destins ratés
Tu vas me manquer
Je trace
Pour mieux retrouver
Celle qui nous plaisait

Là où je vais
D'autres jours et d'autres nuits
Là où je vais
C'est l'éveil après l'ennui
Là où je vais
Les gens savent encore donner
Ils veulent d'abord exister
Là où je vais
Je fuis

Ça te dépasse
Nos envies de changer d'espace
Je sais
Le thème est lourd
L'amour
Quand on est femme, le compte est à rebours
Crois-moi
On ne revient plus
Des moments perdus
D'un nous dévêtu
Suis-moi
Rendons nos armures
Toi seul me rassures

Là où je vais

Là où je vais
On voit rien avec des si
Là où je vais
La promesse d'un autre lit
Là où je vais
L'eau que je ne connais pas
Suivre l'appel d'autres voix

Là où je vais
Je vis
D'autres jours et d'autres nuits
Là où je vais
C'est l'éveil après l'ennui
Je vis

Là où je vais, Là où je vais, Là où je vais

Là où je vais
Je vis

jeudi 25 décembre 2014

Isabelle Boulay - Il Suffirait De Presque Rien

Il suffirait de presque rien
Peut-être dix années de moins
Pour que je te dise "Je t´aime"
Que je te prenne par la main
Pour t´emmener à Saint-Germain
T´offrir un autre café-crème

Mais pourquoi faire du cinéma
Fillette allons regarde-moi
Et vois les rides qui nous séparent
A quoi bon jouer la comédie
Du vieil amant qui rajeunit
Toi même ferais semblant d´y croire

Vraiment de quoi aurions-nous l´air
J´entends déjà les commentaires
"Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
Elle au printemps, lui en hiver"

Il suffirait de presque rien
Pourtant personne tu le sais bien
Ne repasse par sa jeunesse

Ne sois pas stupide et comprends
Si j´avais comme toi vingt ans
Je te couvrirais de promesses

Allons bon voilà ton sourire
Qui tourne à l´eau et qui chavire
Je ne veux pas que tu sois triste
Imagine ta vie demain
Tout à côté d´un clown en train
De faire son dernier tour de piste

Vraiment de quoi aurais-tu l´air
J´entends déjà les commentaires
"Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
Elle au printemps, lui en hiver"

C´est un autre que moi demain
Qui t´emmènera à St-Germain
Prendre le premier café crème
Il suffisait de presque rien
Peut-être dix années de moins
Pour que je te dise "Je t´aime"

Isabelle Boulay - Ma liberté

Ma liberté
Longtemps je t'ai gardée
Comme une perle rare
Ma liberté
C'est toi qui m'as aidé
A larguer les amarres
Pour aller n'importe où
Pour aller jusqu'au bout
Des chemins de fortune
Pour cueillir en rêvant
Une rose des vents
Sur un rayon de lune


Ma liberté
Devant tes volontés
Mon âme était soumise
Ma liberté
Je t'avais tout donné
Ma dernière chemise
Et combien j'ai souffert
Pour pouvoir satisfaire
Tes moindres exigences
J'ai changé de pays
J'ai perdu mes amis
Pour gagner ta confiance


Ma liberté
Tu as su désarmer
Mes moindres habitudes
Ma liberté
Toi qui m'as fait aimer
Même la solitude
Toi qui m'as fait sourire
Quand je voyais finir
Une belle aventure
Toi qui m'as protégé
Quand j'allais me cacher
Pour soigner mes blessures


Ma liberté
Pourtant je t'ai quittée
Une nuit de décembre

J'ai déserté

Les chemins écartés

Que nous suivions ensemble

Lorsque sans me méfier

Les pieds et poings liés

Je me suis laissé faire
Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière


Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière

Amel Bent - Où Je Vais

Ooooh
Chanter,
Chanter pour se dessiner un monde
C’est pas si loin le temps
Où je m’en allais,
Errer, pour sentir les mélodies
Qui m’inondaient d’espoir,
Je chantais pour oublier
Tapis dans l’ombre,
Tu me regardes dans les yeux
Me prends par la main,
Et me souris enfin,
D’un geste tu m’apaises
Et me réchauffe un peu
Je suis bien,
Mais est-ce vraiment ce que je veux ?

[Refrain]
Mais qu’est-ce que j’ai fait ?
Où Je vais ?
Ce poème est un Adieu à ce que j’étais
Pourquoi moi ? Je ne sais pas
Quel est ce monde où tu m’emmènes ?
Et je revois,
Le cours de ma vie
Je crains que rien ne soit plus pareil
Mais je ne regrette rien
Non, je ne regrette rien

Pleurer,
Pleurer, mes amis, mes illusions,
Purifier derrière les murs d’une prison dorée
Mais garder l’envie,
Vivre ma passion
Qui sépare un écran de télévision,
Sorti de l’ombre,
Je te regarde dans les yeux,
Et je te sens si fragile
Dans ton châteaux d’argile,
D’un geste tu me nargues,
Et disparais un peu ainsi soit-il …
Car c’est vraiment ce que je veux !

[Refrain x3]

Amel Bent - Ne Retiens Pas Tes Larmes

Une histoire qui tombe à l'eau
Quelques mots sur ton piano
C'est fini
C'est toute une vie
Qui s'assombrit

Je l'ai vu dans ton regard
J'ai senti ton désespoir
A quoi bon
Faire semblant
D'y croire

Ref. Ne retiens pas tes larmes
Laisses aller ton chagrin
C'est une page qui se tourne
Et tu n'y peux rien
Ne retiens pas tes larmes
Pleurer ça fait du bien
Et si tu as de la peine
Tu sais que je t'aime
Je ne serais jamais loin

Tu t'accroches à ton passé
Comme si tout s'était figé
Aujourd'hui
Il faut s'aider
Abandonner
La douleur qui s'installe
Cette absence qui fait si mal
N'aie pas peur
Écoutes ton coeur

Ref. Ne retiens pas tes larmes
Laisses aller ton chagrin
C'est une page qui se tourne
Et tu n'y peux rien
Ne retiens pas tes larmes
Pleurer ça fait du bien
Et si tu as de la peine
Tu sais que je t'aime
Je ne serais jamais loin

Ne retiens pas tes larmes
Laisse aller ton chagrin
Si tu as de la peine
Souviens-toi que je t'aime
Je ne serais jamais loin

mercredi 24 décembre 2014

Annie Villeneuve - Quand je ferme les yeux

Quand je ferme les yeux
Je te vois encore un peu
Et j'imagine simplement
Avoir envie d'arrêter le temps

Quand je ferme les yeux
Je nous vois devenir vieux
Et si je meurs avant toi
Laisse moi partir seule juste une fois

Même si je pleure, même si je rage
Même si le ciel est un orage
Moi je t'aime
Oui je t'aime mon amour

Quand je ferme les yeux
C'est que nous sommes tous les deux
Et si je pense à toi trop fort
Un simple soupir et je m'endors

Même si je pleure, même si je rage
Même si le ciel est un orage
Moi je t'aime
Oui je t'aime mon amour
Pour toujours

Quand la vie nous sépare
Il n'est jamais trop tard
Ton silence est trop lourd
Parle-moi

Quand je ferme les yeux
Je nous vois encore heureux

dimanche 21 décembre 2014

Vanessa Paradis - Station Quatre Septembre


On s'est connus un matin station quatre septembre
Reconnus dès le lendemain pour aller boire un café ensemble
On en a fait du chemin, du moins il me semble
Depuis le premier verre de vin au dernier baiser sans la langue
On a connu les arrières cours, les frimas de décembre
Les ingénues qui portent court, qui font du pied aux pieds-tendres
Les nuits moites allongé sur le coco et la cendre
Le ?? nu, la misère nue mais quel bonheur ensemble

Même au siècle prochain j'en parlerai encore
Même au siècle prochain j'en parlerai encore
Même au siècle prochain j'en pleurerai encore
Même au siècle prochain j'en pleurerai encore

On s'est perdus un matin station quatre septembre
Reperdus, ivres de ce vin qui vous fait les yeux en amandes
On a rasé quelques murs, toi levé quelque jambes
Une pensée saugrenue, dire adieu à ces grands ensembles
Adieu nuits tendres, adieu caresses, adieu lait à l'amande
Adieu relative allégresse de prendre un café ensemble

Même au siècle prochain j'en parlerai encore
Même au siècle prochain j'en parlerai encore
Même au siècle prochain j'en pleurerai encore
Même au siècle prochain j'en pleurerai encore
J'en pleurerai encore

Même au siècle prochain j'en parlerai encore
Même au siècle prochain j'en parlerai encore
Même au siècle prochain j'en pleurerai encore
Même au siècle prochain j'en pleurerai encore
J'en pleurerai encore

TAL - Marcher au Soleil

Oh oh oh oh oh oh oh ohoo
oh oh oh oh oh oh oh ohoo
oh oh oh oh oh oh oh ohoo
oh oh oh oh oh oh oh ohoo

BRIDGE
Et si ce soir le monde était un autre
Et rien a perdre on ira jusqu’au bout
Ouvre les yeux derrière les apparences
Envie de croire à la seconde chance

COUPLET
Et, et quand tu t'endors
Je rêve éveillée
Et sans un effort
Nous ré inventer

REFRAIN
Viens je t’emmène pour tout oublier
et marcher sous le soleil
viens je t’emmène tout recommencer
et regarder vers le ciel
et quand tout va mal
quand la vie s'emporte
je laisse le hasard frapper a ma porte
Viens je t’emmène pour tout oublier
Et marcher au soleil
oh oh oh oh oh oh oh oh ohoo
oh oh oh oh oh oh oh oh ohoo

BRIDGE
Les jours s'effacent et le temps passe
Apprend a regarder l'amour en face
Les faux départs les mots qui fond peur
On refait tout prends de la hauteur

COUPLET

REFRAIN

Ouuuuuuuuuuuuuuuuh ouuuuuuuuuuuuuh

Viens je t’emmène pour tout oublier
et marcher sous le soleil
et regarder vers le ciel
Nooooooooooooohoooooo
Viens je t’emmène pour tout oublier
et marcher au le soleil
Oh oh oh oh oh oh oh oh
Et marcher au soleil
Et marcher au soleil
Oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh