vendredi 15 octobre 2021

Elsa Esnoult - Souviens-toi

Sur cette plage
On s'est embrassés
Et tous les nuages
Se sont envolés
Sur mon visage
Une larme a coulé
Souviens-toi
Souviens-toi
Souviens-toi
Entre tes bras
Tu m'as enlacée
Tout contre toi
Je me suis cachée
On s'est aimés
Sur le sable mouillé
Souviens-toi
Souviens-toi
Souviens-toi
Un amour de vacances
Comme une récompense
Pour le temps d'un été
Moi j'espérais pour l'éternité
Tu es parti
Après les vacances
On s'était promis
De se faire confiance
Tu m'as écrit
Que j'étais ta chance
Souviens-toi
Souviens-toi
Souviens-toi
Quand je reviens
Sur cette plage
Je me souviens
De ton doux visage
Parce que tu vois
Moi je pense toujours à toi
Souviens-toi
Souviens-toi
Souviens-toi
Oh oui, tu vois
Moi je pense toujours à toi
Souviens-toi
Souviens-toi
Souviens-toi

Coeur de pirate - On s'aimera toujours

Sous les lueurs de novembre
J'espérais reprendre un peu mon souffle
Mais le mal comptait ses proies
Et je l'imagine encore à mes trousses
Mais tu es entré dans la danse
Et j'ai éclipsé ce qu'il me restait
Les autres n'ont plus d'importance
Tes dires deviennent ma destinée
Mais tant qu'il n'y aura que nos souffles
Qui pansent mes blessures
Je veux être bien à toi
Et sous ces lumières écarlates
On s'aimera toujours, je crois
Et je sens mon cœur s'étendre
Quand mes yeux se fondent au vert des tiens
Si le passé nous secoue, tu sais
C'est qu'on pense au lendemain
Si on revit de nos cendres
C'est parfait si l'on tremble
Les démons de nos saluts
Se retrouvent ensemble une dernière fois
C'est comme si on se connaissait
Et nos histoires reprennent leurs ébats
Qu'importe ce qu'on dit de nous
On vit à deux ce que l'on ne sait pas
En images on dit adieu
On vibre dans ce que l'on ne connaît pas
Mais tant qu'il n'y aura que nos souffles
Qui pansent mes blessures
Je veux être bien à toi
Et sous ces lumières écarlates
On s'aimera toujours, je crois
Et je sens mon cœur s'étendre
Quand mes yeux se fondent au vert des tiens
Si le passé nous secoue, tu sais
C'est qu'on pense au lendemain
Si on revit de nos cendres
C'est parfait si l'on tremble
Et je sens mon cœur s'étendre
Quand mes yeux se fondent au vert des tiens
Si le passé nous secoue, tu sais
C'est qu'on pense au lendemain
Si on revit de nos cendres
C'est parfait si l'on tremble

Louane - Tornade

Petite, te laisse pas enfermer, t'as toujours su rêver
Petite, j'te promets, c'est pas ta faute (c'est pas ta faute)
Ce monde que t'as imaginé n'saura pas te sauver
Petite, j'te promets, t'en verras d'autres (t'en verras d'autres)
Tu rêves de partir, pouvoir choisir, oublier ta peine (ta peine)
Cent fois tu vas tomber, cent fois croire qu'c'est terminé
Cent fois tu vas t'relever quand même (quand même)
Et quand tu n'sais plus qui tu es
Les vent t'emmènent du mauvais côté
Surtout n'oublie pas en toi la tornade
Et quand t'as besoin de crier
Que tu n'vois plus c'qui pourrait changer
Surtout n'oublie pas en toi la tornade
Et quand tu n'sais plus qui tu es
Les vent t'emmènent du mauvais côté
Surtout n'oublie pas en toi la tornade
Et quand t'as besoin de crier
Que tu n'vois plus c'qui pourrait changer
Surtout n'oublie pas en toi la tornade
T'as grandi et tes rêves aussi, l'innocence qui s'enfuit
T'as grandi, tu t'sens pas comme les autres
Tu commences à sortir la nuit, à faire c'qu'on t'interdit
Y a des étapes qu'il faut pas qu'tu sautes
Tu rêves de partir, pouvoir choisir, oublier ta peine (ta peine)
Cent fois tu vas tomber, cent fois croire qu'c'est terminé
Cent fois tu vas t'relever quand même (quand même)
Et quand tu n'sais plus qui tu es
Les vent t'emmènent du mauvais côté
Surtout n'oublie pas en toi la tornade
Et quand t'as besoin de crier
Que tu n'vois plus c'qui pourrait changer
Surtout n'oublie pas en toi la tornade
Et quand tu n'sais plus qui tu es
Les vent t'emmènent du mauvais côté
Surtout n'oublie pas en toi la tornade
Et quand t'as besoin de crier
Que tu n'vois plus c'qui pourrait changer
Surtout n'oublie pas en toi la tornade

dimanche 1 août 2021

Philippine - N'importe quoi

 

Si j'ai du noir sous les yeux, si j'ai une sale dégaine
Si tout me paraît brumeux, comme dans un mauvais rêve
Si je te vois
Quand t'es pas là, j'crois j'fais n'importe quoi
Si j'parle encore de nous deux, si je parle au pluriel
C'est parce que "nous" c'était mieux qu'un "je" seul et cruel
Quand j'dis que je vais mieux sans toi
Ne me crois pas, je dis n'importe quoi
Et ta main se serre dans la mienne
Et puis plus rien t'façon à quoi ça mène?
C'est rien que de la poudre aux yeux
Jamais sérieux (ouais c'est n'importe quoi)
Si j'ai des cernes sous les yeux et la voix qui déraille
C'est que les nuits durent trop peu, à rejouer nos batailles
Trop fatiguée (trop fatiguée)
Ne plus penser, plus faire n'importe quoi
Si par hasard tu reçois des messages à rallonge
Dis-toi que ce n'est pas moi, c'est mes mains qui racontent
Peut-être que c'est mieux comme ça
C'est faux c'est beau mais c'est n'importe quoi
Et ta main se serre dans la mienne
Et puis plus rien t'façon à quoi ça mène
C'est rien que de la poudre aux yeux
Jamais sérieux (ouais c'est n'importe quoi)
Et ta main se serre dans la mienne
Et puis plus rien t'façon à quoi ça mène?
C'est rien que de la poudre aux yeux
Jamais sérieux (ouais c'est n'importe quoi)
J'sais pas ce qu'on attend, moi j'trouve ça malsain
Cette histoire bancale où rien n'est certain
Mais c'est vrai c'était bien (mais c'est vrai c'était bien)
Comme des ombres chinoises dansaient sous les draps
Dessinaient des corps qui ne mentaient pas
C'est vrai c'était bien (c'est vrai c'était bien)
Et puis il y a ton parfum mélangé au mien
L'espoir du matin, d'une histoire sans fin
C'est vrai j'voudrais bien (c'est vrai j'voudrais bien)
Puis s'ouvre la porte, un dernier refrain
Et passer mes doigts dans tes cheveux bruns
C'est vrai j'voudrais bien (c'est n'importe quoi)
Et ta main se serre dans la mienne
Et puis plus rien t'façon à quoi ça mène?
C'est rien que de la poudre aux yeux
Jamais sérieux ouais c'est n'importe quoi
ouais c'est n'importe quoi
(Jamais sérieux) ouais c'est n'importe quoi
(Jamais sérieux) ouais c'est n'importe quoi
Jamais sérieux ouais c'est n'importe quoi

Philippine - Impossible


Prends mon coeur, je te le donne, il est à toi
Dans tes mains, il bat si fort, sans fin
Depuis longtemps, il se serre quand t'es près de moi
Prends mon coeur, il se bat toujours pour toi

Si seulement, c'était le mien que tu voulais
Mais dans tes mains des coeurs t'en as qui battent sans arrêt

Et j'ai cru, à un moment,
Que l'impossible était possible
Et je vois, maintenant,
Ce qui pouvait être facile tu l'as rendu si difficile

Tes va-et-vient entre le mal et le bien
Seul à seul, regarde-toi tu redeviens
Un enfant qu'on aime et qu'on chérit
Le jour où t'ouvriras les yeux, je serais partie

Et j'ai cru, à un moment,
Que l'impossible était possible
Et je vois, maintenant,
Ce qui pouvait être facile tu l'as rendu si difficile

Pourquoi j'ai cru si longtemps
Que peut-être un jour tout serait différent ?
Pourquoi j'ai cru si longtemps
Que pour moi t'as des sentiments ?

Il était une fois cette fille qui passait son temps à te protéger
Il était une fois ce garçon qui n'a jamais changé, tu m'as jamais aimé

Et j'ai cru, à un moment,
Que l'impossible était possible

Et je vois, maintenant,
Ce qui pouvait être facile tu l'as rendu si difficile

Il était une fois cette fille qui passait son temps à te pardonner
Il était une fois ce garçon qui n'a jamais changé, tu m'as jamais aimé 

mardi 16 février 2021

Louane - Peut-être

 Peut-être que j'me trompe, peut-être que j'me mens
Peut-être qui faudrait que j'change maintenant
Peut-être que mes réussites sont mes démons
Que c'qui m'arrive ensuite est la solution
Peut-être que j'suis nulle, peut-être que j'suis géniale
Ou juste un peu des deux
Peut-être que j'vais m'sauver, quе j'vais m'quitter
Peut-être quе j'en dis trop, ou pas assez
Marre des "Pomme C"-"Pomme V"
Tout ce que j'possède, envie d'l'envoyer balader dans un "Pomme Z"
Si y a que des questions dans ma voix
Ferme mes yeux, ouvre grand tes bras
Et serre moi encore
Tant que t'es, tant que t'es là
Tant qu'il fait nuit dehors
Ouvre tes bras et serre moi plus fort
Tant que t'es, tant que t'es là
Tant qu'il fait nuit dehors
Tu me plais bien, tu m'aimes voilà
Peut-être que j'rigole quand il faudrait pleurer
Peut-être que j'dis pas tous le temps la vérité
Peut-être que j'ai raison, peut-être que j'déconne
Peut-être que la route que j'prends n'est pas la bonne
Peut-être que j'ai pas préparé de plan B
Peut-être que j'suis naïve, j'crois qu'j'y arrive
Et comme tout le monde un peu à la dérive
Un peu paumée, écarquillée
Peut-être il faut juste que je dorme
Si y a que des questions dans ma voix
Ferme mes yeux, ouvre grand tes bras
Et serre moi encore
Tant que t'es, tant que t'es là
Tant qu'il fait nuit dehors
Ouvre tes bras et serre moi plus fort
Tant que t'es, tant que t'es là
Tant qu'il fait nuit dehors
Tu me plais bien, tu m'aimes voilà
Serre moi encore
Serre moi plus fort

Mylène Farmer - Souviens-toi du jour

[Intro]
Quand le vent a tout dispersé
Souviens-toi
Quand la mémoire a oublié
Souviens-toi

[Couplet 1]
Souviens-toi que l'on peut tout donner
Souviens-toi que l'on peut tout briser
Et si c'est un Homme, si c'est un Homme
Lui parler d'amour à volonté, d'amour à volonté
Souviens-toi que l'on peut tout donner
Quand on veut, qu'on se rassemble
Souviens-toi que l'on peut tout briser
Les destins sont liés
Et si c'est un Homme, si c'est un Homme
Lui parler d'amour à volonté, d'amour à volonté

[Refrain]
Le souffle à peine échappé
Les yeux sont mouillés
Et ces visages serrés
Pour une minute, pour une éternité
Les mains se sont élevées
Les voix sont nouées
Comme une étreinte du monde
À l'unisson, a l'Homme que nous serons
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[Couplet 2]
Souviens-toi que le monde a changé
Au bruit des pas qui résonnent
Souviens-toi des jours désenchantés aux destins muets
Et si c'est un Homme, si c'est un Homme
Lui parler d'amour à volonté, d'amour à volonté

[Refrain]
Le souffle à peine échappé
Les yeux sont mouillés
Et ces visages serrés
Pour une minute, pour une éternité
Les mains se sont élevées
Les voix sont nouées
Comme une étreinte du monde
À l'unisson, a l'Homme que nous serons

[Pont]
Zakhor et yom
Zakhor et yom
Zakhor et yom
Zakhor et yom

[Refrain]
Le souffle à peine échappé
Les yeux sont mouillés
Et ces visages serrés
Pour une minute, pour une éternité
Les mains se sont élevées
Les voix sont nouées
Comme une étreinte du monde
À l'unisson, a l'Homme que nous serons
Le souffle à peine échappé
Les yeux sont mouillés
Et ces visages serrés
Pour une minute, pour une éternité
Les mains se sont élevées
Les voix sont nouées
Comme une étreinte du monde
À l'unisson, a l'Homme que nous serons

[Outro]
Quand le vent a tout dispersé
Souviens-toi
Quand la mémoire a oublié
Souviens-toi